5 types de réunions en ligne à sécuriser davantage

5 types de réunions en ligne à sécuriser davantage

Les intrusions dans des visioconférences exposent des informations sensibles et peuvent parfois avoir de nombreuses répercussions selon les secteurs (intérêts économiques, sécurité nationale, enjeux diplomatiques…). Dernière preuve en date avec la fuite d’informations d’une visioconférence WebEx. Voici les principaux types de réunions en ligne à sécuriser en priorité et les précautions à prendre.

Comités de direction à distance

Ce type de réunions en ligne implique la présence de cadres supérieurs, de managers et de membres de la direction générale. Il s’agit d’un rendez-vous clé dans la vie d’une entreprise, qui peut faire l’objet d’espionnage.

L’utilisation d’une solution de visioconférence avec une technologie de chiffrement de bout en bout est donc indispensable. Cependant, celle-ci doit proposer un chiffrement de bout en bout de client à client, c’est-à-dire sans aucune phase de déchiffrement des flux de communication au niveau des serveurs de communication. Ainsi, les échanges audio, vidéo et data demeurent inaccessibles à des personnes extérieures.

Optez pour une « sécurité augmentée »

En plus de cette technologie de chiffrement de bout en bout, Tixeo propose une fonctionnalité de sécurité augmentée : lors d’une réunion en ligne, les participants peuvent renseigner un code secret, préalablement choisi entre eux, afin d’entrer dans un tunnel de communication hautement sécurisé et invisible pour toute autre personne.

Réunions en ligne budgétaires

Les visioconférences abordant des informations financières, avec des participants habilités à réaliser des transactions, sont particulièrement ciblées par des attaques. Récemment, l’arnaque au président via deep fake vidéo et audio lors d’une visioconférence a visé une employée du service financier d’une multinationale hong-kongaise. L’utilisation malveillante de l’IA lors de cette attaque l’a rendue parfaitement efficace.

Ainsi, toutes réunions sur des contrats, des prévisions budgétaires, des résultats financiers ou des audits doivent bénéficier de la plus haute protection. L’organisateur doit contrôler attentivement l’accès des participants à sa réunion en ligne.

Contrôlez l’accès des participants

visioconférence sécurisée pour la finance

Avec Tixeo, après s’être connectés au logiciel via leur compte utilisateur sécurisé, les participants envoient une demande de participation à la réunion. Ils patientent alors dans une salle d’attente virtuelle. En parallèle, l’organisateur vérifie leur demande et l’approuve ou la refuse. Il peut alors procéder à une vérification de l’identité via un appel téléphonique et/ou le partage d’une phrase secrète. Ainsi, la vérification d’identité a lieu en amont, avant l’entrée du participant dans la réunion, et non tardivement pendant l’échange. Les discussions stratégiques sont donc préservées de toute infiltration externe.

En savoir plus sur la visioconférence sécurisée pour la Finance

Réunions en ligne de R&D (Recherche et Développement)

Dans ce type de réunions en ligne circulent des informations sensibles sur des technologies, des innovations ou encore des brevets techniques. Au sein de secteurs stratégiques comme l’industrie ou l’énergie, ces informations constituent le potentiel scientifique et technique de la nation. Elles doivent être protégées efficacement de l’espionnage.

Seul rempart : une véritable technologie de chiffrement de bout en bout et le choix d’une solution de visioconférence souveraine.

Choisir une solution de visioconférence souveraine

Pour éviter la fuite d’informations sensibles, les entreprises doivent choisir une solution de visioconférence sécurisée mais surtout souveraine.

En effet,la plupart des applications collaboratives hébergent leurs données en dehors du territoire européen et sont alors soumis à des lois extraterritoriales souples en matière de protection des données.

C’est le cas du Cloud act aux Etats-Unis. Cette série de lois extraterritoriales permet aux autorités américaines de contraindre les éditeurs situés sur le territoire américain, à fournir les données relatives aux communications électroniques, stockées sur des serveurs américains ou étrangers. Les communications d’entreprise relatives à la R&D doivent donc absolument se tenir sur un logiciel de visioconférence conforme au RGPD, pour éviter toute fuite d’informations.

visa de sécurité ANSSI

Tixeo est par ailleurs la seule solution de visioconférence sécurisée à être certifiée et qualifiée par l’ANSSI depuis 6 années consécutives.

Réunions en ligne avec des collaborateurs externes

Les réunions en ligne impliquant des fournisseurs, des clients ou des partenaires exposent des informations sensibles (informations contractuelles, données clients, budgets…). La vigilance est de mise concernant la protection des visioconférences. La solution déployée et utilisée par les deux parties doit absolument être sécurisée, afin de prévenir toutes compromissions de données.

Sous-traitants, fournisseurs : des intermédiaires particulièrement visés

Les cyberattaques de sous-traitants ou fournisseurs travaillant auprès d’organisations stratégiques sont fréquentes. En effet, généralement, ces intermédiaires possèdent des informations sensibles, sans pour autant bénéficier d’un niveau de cybersécurité suffisant. Ils deviennent ainsi des cibles idéales. Cette vigilance concerne d’autant plus les secteurs de la Défense et de l’Industrie, qui collaborent avec de nombreux partenaires.  

Dans son panorama de la cybermenace 2023, l’ANSSI indique avoir traité « la compromission d’équipements réseau d’un opérateur, conduite au moyen d’un MOA [maître de l’ouvrage] lié à un acteur étatique, dans un but probable d’espionnage de télécommunications ».

L’Agence rappelle ainsi qu’il est nécessaire que « les opérateurs soient particulièrement attentifs à cesser l’utilisation de protocoles d’administration faibles, tandis que leurs clients ne peuvent faire l’hypothèse d’une sécurité par défaut et doivent s’assurer du chiffrement de bout en bout de leurs communications transitant, même partiellement, via des protocoles non sécurisés ».

Réunions en ligne de gestion de crise

En cas de cyberattaque, les équipes IT et de gestion de crise ont besoin de rester en contact. C’est le cas aussi des collaborateurs qui doivent garantir la continuité de l’activité. Au sein des administrations publiques, l’outil de communication d’urgence permet d’assurer la continuité du service public. Pour cela, une solution de visioconférence sécurisée pouvant fonctionner en dehors des réseaux traditionnels est nécessaire.

En savoir plus sur la visioconférence sécurisée pour les administrations publiques

Optez pour des communications out-of-band

La visioconférence sécurisée Tixeo en version on-premise est déployée sur un serveur dédié de l’entreprise. Son déploiement se fait sans impact sur la politique de sécurité du réseau général. En cas de crise, Tixeo peut ainsi fonctionner sans connexion internet, de façon isolée sur l’infrastructure de l’entreprise. Cela permet un usage interne uniquement : les équipes peuvent donc poursuivre leurs échanges en toutes conditions.

interface Tixeo

De plus, choisir un logiciel de visioconférence sécurisé on-premise limite la dépendance technologique de l’organisation à des prestataires externes. Elle améliore ainsi le contrôle de sa politique de sécurité et renforce sa souveraineté.

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Autre précaution à prendre pour sécuriser les réunions en ligne 

Se connecter sur un réseau sécurisé

Outre la sécurité du logiciel de visioconférence, la connexion Internet utilisée pour les réunions en ligne doit être parfaitement sécurisée afin de limiter les risques de vol de données. L’utilisation d’un VPN robuste renforce la protection de la connexion mais ne constitue jamais une barrière infranchissable pour les cyberattaquants.

Les récentes fuites de l’armée allemande en visioconférence sont d’ailleurs dues, selon les premiers résultats de l’enquête, à une connexion non autorisée d’un des participants à la réunion en ligne.

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“Bossware” : quels sont ces logiciels qui espionnent les salariés ?

“Bossware” : quels sont ces logiciels qui espionnent les salariés ?

Suivre l’activité d’un salarié à distance, c’est ce que permet le « bossware ». L’utilisation de ces logiciels espion est plus répandue qu’on ne le croit, d’autant plus depuis l’avènement du télétravail et de l’lA. Comment les détecter et quels sont leurs risques ?

 

Qu’est-ce que le bossware ?

Définition et origine

Le « bossware » est le terme utilisé pour désigner un logiciel destiné à surveillé les salariés. Installé sur le poste de travail, il collecte un maximum de données sur l’activité du travailleur afin de donner un aperçu de sa productivité. Ce logiciel espion peut enregistrer toutes les activités en ligne : les frappes sur le clavier, les mouvements de la souris et même dans certains cas, effectuer des captures d’écran aléatoires. Certains « bossware » sont également capables de faire des enregistrements audio ou vidéo.

Fortement utilisé depuis le déploiement généralisé du télétravail en 2020, il permet aux dirigeants de garder un œil sur leurs collaborateurs à distance. Aujourd’hui, avec le développement de l’intelligence artificielle, la surveillance peut aller plus loin. Ainsi, certains logiciels « bossware » comme Veriato ont la capacité d’analyser les données du travailleur afin de lui attribuer un « score de risque » pour la sécurité de l’entreprise. D’autres peuvent envoyer des alertes si le travailleur ne semble pas avoir un comportement approprié à son poste.

Un logiciel espion pas toujours détectable

Le « bossware » peut être déployé de façon visible ou silencieuse. En surveillance visible, le travailleur a conscience que son activité est surveillée. Dans certaines configurations, il peut même agir sur le logiciel en le mettant sur pause par exemple. À l’inverse, en surveillance silencieuse, le salarié n’a pas conscience d’être « espionné ». Le logiciel a donc pu être installé sur son poste sans son accord et à distance.

 

Autorisé aux Etats-Unis : et en Europe ?

Le RGPD protège aussi les salariés

Aux Etats-Unis, un employeur peut aisément contraindre un employé à installer ce type de logiciel sur son poste. Néanmoins, des lois tendent aujourd’hui à limiter leur utilisation en obligeant les entreprises à faire preuve de transparence.

En Europe, la surveillance des employés n’est pas non plus clairement légiféré. Néanmoins, le Règlement Général de Protection des Données Personnelles (RGPD) fait office de référence sur le sujet. En effet, il définit les conditions de collecte, d’utilisation et de transfert des données à caractère personnel et encadre les opérations de traitement des données, y compris celles concernant le suivi des employés. De cette façon, le consentement de l’employé quant au traitement de ses données est absolument requis.

Cependant, comme l’explique le rapport européen « Employee monitoring and surveillance : The challenges of digitalisation », « il appartient à chaque État membre [de l’UE] de mettre en place des dispositions spécifiques en matière de protection des données ».

Controversé mais tout de même utilisé

En France, l’utilisation du « bossware » est controversée mais malgré tout répandue. Selon une étude réalisée par Vanson Bourne pour VMware, « 63 % des entreprises françaises de plus de 500 salariés ont mis en place des outils de surveillance ».

Néanmoins, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) alerte régulièrement sur l’utilisation de ce logiciel. Elle rappelle que cette surveillance ne doit pas « porter atteinte au respect des droits et des libertés des salariés ». Avant de mettre en place un outil de surveillance, les salariés doivent donc être informés. La surveillance au travail fait d’ailleurs partie des principaux motifs de plainte auprès de la Cnil.

Mais le pays européen champion de la surveillance des salariés serait bien l’Espagne. Puisque, selon le même rapport, « 40 % des entreprises espagnoles ont installé des logiciels espions » contre 15% en Allemagne et 26% au Royaume-Uni.

 

Les différentes façons de détecter un « bossware »

Selon TechTarget, quelques vérifications permettent de détecter l’utilisation d’un « bossware ».

1. Vérifier le gestionnaire des tâches

Si un logiciel non reconnu, dont le nom contient un certain nombre de chiffres et de lettres aléatoires, s’exécute en arrière-plan, il peut s’agir d’un « bossware ». À noter que de nombreux logiciels espions ne sont pas détectables dans le gestionnaire des tâches.

2. Télécharger un antispyware

En cas de suspicion, un logiciel anti-espion peut être utile. Celui-ci va scanner l’appareil et être en mesure d’identifier le « bossware » comme logiciel malveillant.

3. Surveiller le trafic Internet sortant

Certains logiciels de surveillance de trafic Internet peuvent détecter un trafic inhabituel et ainsi confirmer des soupçons.

 

Quels sont les risques liés à l’utilisation de bossware ?

Les impacts sur la productivité et le bien-être des salariés

La mise en place d’outils de surveillance de salariés démontre un manque de confiance flagrant de la direction envers ses collaborateurs qui travaillent à distance. Pourtant, cette confiance réciproque est indispensable pour favoriser l’engagement des salariés dans l’entreprise et les fidéliser. La surveillance, lorsqu’elle est visible, fait ressentir une pression constante aux salariés, pression qui peut les pousser à l’épuisement et au burn-out. Alors qu’elle souhaite contrôler et agir sur leur productivité, la Direction nuirait ainsi au bien-être de ses équipes.

Vols de données et non-respect de la vie privée

En France, le salarié dispose de droits concernant le traitement de ses données, notamment avec le RGPD. Il doit en avoir conscience et ne pas hésiter à alerter ses représentants en cas de doute sur un logiciel espion dans son entreprise. En effet, l’utilisation de « bossware » entraîne un traitement massif de contenus et données personnelles qui nuisent au respect de la vie privée du salarié. Si ces logiciels ne sont pas parfaitement sécurisés, ils peuvent être visés par des cyberattaques. De ce fait, les données qui concernent le salarié, mais aussi l’entreprise, sont susceptibles de tomber entre les mains de personnes malveillantes. Les employeurs doivent protéger les données du salarié, qu’elles aient été récoltées à des fins de recrutement, de sécurité ou de suivi de l’activité.

Quelques pistes pour éviter le bossware

Favoriser la confiance et la communication

En conclusion, les logiciels « bossware » sont beaucoup utilisés depuis la crise sanitaire et tendent à se développer avec l’intelligence artificielle. Pourtant, leurs effets sont parfois nocifs sur le bien-être des salariés et nuire à la performance des équipes.

L’utilisation de logiciels espions ne doit jamais être systématique pour la collaboration à distance, au contraire. Il est essentiel que le télétravail soit proposé dans un climat de confiance, afin d’en tirer tous les bénéfices en matière de productivité et de qualité de vie au travail. Pour cela, un management et des outils de communications adaptés et sécurisés sont indispensables à mettre en place.

Préserver la cybersécurité de l’entreprise

Les risques de sécurité du « bossware » sont réels. Ils peuvent aboutir à une perte de données personnelles et engendrer des répercussions financières pour l’entreprise.

Enfin, les salariés doivent être conscients de leurs droits relatifs à la protection de leur vie privée et de leurs données personnelles et ne pas hésiter à se rapprocher de leurs représentants en cas de doute sur l’utilisation d’un bossware.

 

Pour aller plus loin

Dans ce livre blanc, découvrez des pistes pour renforcer la productivité des travailleurs à distance et améliorer la cybersécurité du télétravail.

livre blanc sécurité du télétravail

Comment réinventer et sécuriser le travail à distance en 2023 ?

Comment réinventer et sécuriser le travail à distance en 2023 ?

Le travail à distance est aujourd’hui plébiscité par un nombre important de salariés et d’entreprises. Mais, à l’heure où les cybermenaces s’intensifient, comment rendre le télétravail vraiment performant et renforcer sa sécurité dans les organisations ?

 

Quiet quitting, digital nomad… Une nouvelle vision du travail

En France comme en Europe, le rapport au travail a considérablement évolué. Pour de nombreux salariés aujourd’hui, la priorité est d’occuper un poste dans une entreprise en accord avec leurs valeurs, où leur bien-être sera réellement pris en compte. C’est ce qui ressort d’ailleurs du dernier baromètre de l’observatoire Actineo. On apprend que 45 % des personnes interrogées pensent que leur employeur ne se préoccupe pas de leur bien-être au travail, alors que cela devrait être la priorité pour 84 %.

Le mouvement du quiet quitting (ou démission silencieuse) ainsi que le nombre croissant de digital nomad, démontrent ainsi une envie assumée de gagner en liberté et en qualité de vie.

 

Les bénéfices du télétravail  

Le télétravail semble être une réponse adaptée et efficace face à ces nouvelles attentes, en offrant un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. De plus, le travail à distance augmenterait même la productivité des salariés, selon le rapport du Conseil National de la Productivité. Le bénéfice d’une meilleure qualité de vie ? Pas seulement, puisque la réussite du télétravail tient aussi dans l’accompagnement et le management adapté des équipes.

Comment repenser le management en télétravail ?

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Allier performance de la collaboration et sécurité des données

En 2023, mettre en place le télétravail nécessite une réflexion poussée sur la sécurité des données et des communications. En effet, lorsque les salariés travaillent à distance, les risques de cybersécurité sont plus importants et leurs conséquences plus coûteuses.

Dans le rapport d’IBM, on apprend qu’en 2022, le coût moyen d’une violation de données était de 4,34 millions de dollars en France. Quand le télétravail est un facteur à l’origine de l’attaque, 1 million de dollars sont ajoutés à la note. Les conséquences sont donc d’abord financières mais elles dégradent également la réputation de l’organisation ciblée pour son manque de fiabilité.

La protection de l’environnement de télétravail, la mise en place d’un VPN, du MFA (authentification multi-facteur) ou encore la souscription d’un service cloud souverain sont autant de choix à effectuer pour que les collaborateurs accèdent de façon simple et sécurisée aux ressources de l’entreprise.

Quels outils mettre en place pour sécuriser les données ?

Quels sont les risques de sécurité informatique principaux en télétravail ?

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L’importance de la formation des télétravailleurs à l’hygiène informatique

La sensibilisation à la sécurité informatique des équipes en télétravail est fondamentale pour prévenir les risques de cybersécurité. En effet, le facteur humain est toujours le premier en cause, malgré une sécurisation massive des systèmes d’informations. Les salariés doivent ainsi être sensibilisés aux risques mais aussi aux bonnes pratiques à mettre en œuvre pour protéger leur appareil, en déplacement notamment.

Par ailleurs, le déploiement et l’utilisation d’un outil de visio collaboration performant et Secure by design reste indispensable pour la collaboration des équipes, d’autant plus en 100% télétravail. Former et sensibiliser les télétravailleurs à cet outil est important, notamment pour réduire les risques de shadow IT, de plus en plus courant.

Le cas de Tixeo, en 100% télétravail augmenté

Depuis 8 ans, Tixeo évolue en 100% « télétravail augmenté ». Grâce au mode TixeoFusion de sa solution de visioconférence sécurisée, les équipes Tixeo collaborent dans un open-space virtuel au quotidien. À la clé : une communication simple, fiable et conviviale, qui efface la distance entre les collaborateurs et renforce la collaboration.

Comment s’est pérennisé le modèle 100% télétravail augmenté de Tixeo ?

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